dimanche 8 août 2010

Un pastiche très amer

On trouve tout sur internet ! Y compris des formes d'humour acides au point de faire très mal... Pendant les vacances -mais les Rroms connaissent-ils des vacances ?-, on peut lire ce qui suit..., qui nous apparait plus désespérant que drôle, mais que nous ne pouvons ignorer car révélateur d'un sentiment d'impuissance et d'une colère rentrée qui ont de quoi inquiéter !

Le Collectif de soutien aux familles rroms de Roumanie

Extrait de : http://bravepatrie.com/justice/roms-l-intransigeance-s-est,1632

Roms : l’intransigeance s’est construite en un jour

Casimir Saint-Troin de Bellemaison, mercredi 4 août 2010

Les événements récents de Grenoble (Isère) et de Saint-Aignan (Loir-et-Cher) ont été la goutte d’eau qui a prouvé que, même installés en France depuis plusieurs siècles, les immigrés nomades ne parvenaient pas à s’imprégner des coutumes de notre Brave Patrie. Si la possession d’armes à feu, une vieille tradition héritée de la Révolution, est encourageante, leur usage contre les dépositaires de l’autorité publique révèle un échec total des politiques d’intégration menées depuis Charles VII.

Face au triste constat, le gouvernement a rapidement réagi. D’une part, il a été décidé de faire enquêter 10 inspecteurs du fisc sur les avoirs des Romanichels, dont l’origine pourrait être douteuse. Cette enquête permettra de dissiper le mur de fumée monté par la gauche, la prétendue « polémique Woerth », qui vise à masquer de vraies fraudes d’une ampleur sans aucune commune mesure. De très récentes révélations tendent en effet à démontrer que le Parti Socialiste a contribué à financer la communauté des Roms (ou « gens du voyage ») lorsqu’il a mis en place son système de sécurité sociale en 1945. Ce subterfuge aurait ainsi permis aux Roms d’acheter de grosses cylindrées afin d’échapper plus rapidement aux voitures de police.

Un cercle vertueux pourrait même être créé, puisqu’il est prévu de déchoir de leur nationalité française les plus violents de ces délinquants, ce qui augmentera mécaniquement la quantité de personnes expulsables.

Mais rien n’est, hélas, jamais acquis. Ainsi, la Cour Européenne des Droits de l’Homme, juridiction qui n’est pas encore soumise à l’autorité hiérarchique du ministère de la Justice, pourrait infliger un sérieux revers à l’action de l’exécutif en violant ouvertement le principe de séparation des pouvoirs (et donc le fondement même de notre République).

En effet, par plusieurs arrêts en date des 20 (A c/ Pays-Bas), 22 (A. A. c/ Grèce) et 26 juillet 2010 (N c/ Suède), la cour de Strasbourg a fait preuve d’une inquiétante légèreté en condamnant des États européens pour des politiques d’immigration jugées trop rigoureuses - en allant parfois même jusqu’à protéger des terroristes !

Emplis d’idéaux humanistes certes attendrissants, ils n’ont pas conscience que la prise en charge de ces immigrés a un coût (d’autant plus élevé que la France traite dignement les personnes présentes illégalement sur le territoire, comme le rappelait le ministre de l’Immigration et de l’Identité Nationale Éric Besson en annonçant la commande d’une étude indépendante qui démontrera que les expulsions ont un coût « nettement inférieur à celui de l’immigration irrégulière »).

Les deux événements dramatiques de Grenoble et de Saint-Aignan pourraient toutefois conduire le gouvernement à se reconcentrer sur des actions chocs en Europe de l’Est, comme l’organisation d’un second sommet de la francophonie à Bucarest (Roumanie) après celui de 2006.

Les enfants rroms sont aussi "déplacés"


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